« Je trouve difficile de poser un regard sur l’Inde. Tant de contrastes entre le luxe et la pauvreté, les senteurs épicées et suaves et celles qui piquent au nez et sentent la déchéance. Les enfants qui mendient en s’accrochant à tes habits et les estropiés de tout genre qui me rappellent à quel point j’ai moi tous mes membres.
Le beau côtoie l’horrible et le propre, une saleté extrême.
Je trouve difficile d’être confronté à tant de pauvreté. Elle m’emmène à un sentiment d’impuissance, presque une gêne, voire une honte, d’être comme je suis et d’où je viens. Alors j’adoucis mon regard et transforme mes réflexions en prières et bénédictions.
Je crois que c’est la vertu de la compassion d’être avec ce qui est, même quand ça questionne, dérange ou pique, avec une attitude douce et bienveillante. Namaste et Happy Diwali. »
Marc
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